Après l’édito Apolitique de scravenpouic la semaine dernière… l’edito Apo(ca)li(p)tique de la Steph!
Et comme c’est dificile de rester bouche close après les évenements du week-end dernier… (pour mon retour … je suis servie) …. finalement …. je ne dirai rien ….
La musique adoucit les moeurs …. ou elle vous cause …. et dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas ….
“
Bon sinon, nous qui aimons tous la richesse du monde …. nous nous retrouverons à l’institut comme d’habitude, et on zoutchera pour signaler sa présence !
>>>ZOUTCH D’AVRIL<<<
Et cette semaine vous retrouverez une animation proposée par Yulong : Vous voulez profiter de l’expertise des vétérans de l’asso pour améliorer votre niveau de jeu ? S’il y a suffisamment d’intéressés, une première séance vous sera proposer .
Vous trouverez une ligne pour vous inscrire sur le zoutch du mois également! 😉
Sinon les petits plus infos du président du club :
” – On remercie tout les vétérans pour leurs présences à la médiathèque de Fougères.
. La japan expo aura lieu dans trois mois. Comme chaque année, la FFMJ recherche des bénévoles. Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à me le signaler. Un zoutch sera diffusé prochainement.”
Bon c’est tout pour cette semaine!!!
…et NO PASARAN!
By Steph
“Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un cauchemar…
Sale cafard!
Anne, ma sœur Anne,
En écrivant ton journal du fond d’ ton placard,
Anne, ma sœur Anne,
Tu pensais qu’on n’oublierait jamais, mais…
Mauvaise mémoire!
Elle ressort de sa tanière, la nazi-nostalgie:
Croix gammée, bottes à clous, et toute la panoplie.
Elle a pignon sur rue, des adeptes, un parti…
La voilà revenue, l’historique hystérie!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’entends,
Anne, ma sœur Anne,
Les mêmes discours, les mêmes slogans,
Les mêmes aboiements!
Anne, ma sœur Anne,
J’aurais tant voulu te dire, p’tite fille martyre:
“Anne, ma sœur Anne,
Tu peux dormir tranquille, elle reviendra plus,
La vermine!”
Mais beaucoup d’indifférence, de patience malvenue
Pour ces anciens damnés, beaucoup de déjà-vu,
Beaucoup trop d’indulgence, trop de bonnes manières
Pour cette nazi-nostalgie qui ressort de sa tanière…
comme hier!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un cauchemar…
Sale cafard!”