L’univers.
Les chiffres.
Les tuiles originelles.
La trinité du Grand Dragon créateur.
Comment nous inscrivons-nous dans la boucle infinie du jeu ? Pourquoi vivons-nous l’éternel recommencement du choix fatal ? Le décidons-nous vraiment ? Cette semaine, je vous propose de partir en recherche de vérité.
D’où vient notre chance ? Et surtout, d’où vient la chance d’autrui ?
Comment sommes-nous trompés lorsque nous nous pensons sachants, puis sommes désavoués à la faveur d’une attente incongrue sur la paire de 4 de ronds alors que c’était le dernier et que le 1, le 3, le 5, le 6 et le 7 étaient déjà sortis ?
Ceux qui prétendent nous apprendre toutes les ficelles doivent être les premiers à convenir qu’ils sont bien loin de les comprendre. Oh ! Bien sûr, demandez-leur ! Allez dans leur «cours avancé» ou sur leur forum ! Nul jamais ne répond à la seule véritable question : sont-ce véritablement nos choix qui sont en cause ou l’issue de cette partie n’était-elle pas déterminée par le Grand Ordre Venteux d’Occident ?
Quel tour du sort nous pousse à adopter les croyances qui sont les nôtres ? Quelle volonté guide nos pas lorsque nous sommes perdus ? Les plus illustres savants, à l’image de René Descartes, ne disaient-ils pas : «qu’un certain mauvais génie, non moins rusé et trompeur que puissant, a employé toute son industrie à me persuader que je ne risquais rien à voler le 9 pour défausser le 7» ? (Méditations métajongique, Premier tour de riichi)
Les esprits cartésiens eux-mêmes ne passent-ils pas à côté des signes les plus criants devant nos yeux ?
Ouest est le vent dont la première lettre correspond dans l’alphabet romain au 15. Un jeu en contient 4. Or :
15:4 = 3,75
Et :
3+7+5 = 15
Confondant.
De là, les pères fondateurs auraient édifié la loi fondamentale qui démontre que si j’ai, dans une famille, le 1, le 2, le 3, le 4 et le 5 :
1+2+3+4+5 = 15
Alors je dois m’accrocher à mon vent d’Ouest. (Sauf dans la famille des caractères car la loi impénétrable et universelle des nombres a négligé que ça ne marchait pas avec l’alphabet chinois.)
Ce n’est pas tout. Le score d’Aradia est actuellement de 348 350. Or :
∛348 350 = 24,294 276
Qu’on arrondit à 24,3. Et le trajet voiture entre Rennes et Parthenay pour participer à notre évènement phare ATT 2018 dure précisément 2h43 ! L’indication s’il en fallait une que c’était Aradia qui devait nous conduire là-bas.
Nos anciens auraient-ils percé le secret que l’incrédulité des rationalistes d’aujourd’hui leur rend inaccessible ?
Comment expliquer ces étranges dessins perceptibles par la structure incroyablement technique d’un œil alors qu’on retrouve l’influence de ces mêmes nombres dans l’univers bien avant les premières traces de l’apparition d’un œil ?
Comment sommes-nous disposés à croire la science officielle lorsqu’elle ne nous dit rien de la troublante correspondance des trois couleurs des dragons avec celles de la pizza Margherita ?
Quel aveuglement encore nous porte à croire que le message de la semaine sera à l’heure ?
Faut-il fêter la nativité du Grand Dragon -qui était en fait trois qui étaient en fait douze- et, si oui, faut-il le fêter le 17 décembre ? le 7 janvier ? Le 14 janvier ? Encore une fois, les archéologues sont incertains.
Mais les nombres ont encore beaucoup de mystères à nous révéler.
Après tout, ne sommes-nous pas destinés à notre rencontre du dimanche à l’ICB ?
Pouic pouic !