Le Mur

Le carré symbolise soit la Grande muraille de Chine, soit les murs d’une cité, mais également les quatre dimensions des trois extrémités.
Le Paradis manifeste ses quatre dimensions par les saisons, la Terre par les quatre points cardinaux, et l’Humanité par ses quatre manifestations : la Vie, la Mort, l’Homme, la Femme.

Le «Carré intérieur» (Mont Intouchable) représente la portion du monde, humaine, terrestre ou divine, qui est regardée comme sacrée, inviolable et éternelle comme «le Grand Commencement». C’est le début et la fin de chaque partie, l’endroit à partir duquel chaque partie commence et auquel toutes retournent. Si le fait de faire Mah-Jong en piochant une Tuile sur le Mur comptait double (ce que l’on retrouve dans «Pêcher la Lune au fond de la Mer») par rapport à celui obtenu par un écart, c’était parce que «ce qui advient naturellement et par lui-même sans l’intervention de l’homme est providentiel et sacré».

Si le fait de faire Mah-Jong en piochant une Tuile sur le Mur comptait double (ce que l’on retrouve dans «Pêcher la Lune au fond de la Mer») par rapport à celui obtenu par un écart, c’était parce que «ce qui advient naturellement et par lui-même sans l’intervention de l’homme est providentiel et sacré». Cette interprétation séduisante bien que difficilement vérifiable nous a paru intéressante à mentionner car elle rend compte de la dimension spécifique de ce jeu où l’imaginaire se marie à la tradition. Et puis comment ne pas être fasciné par le «Carré symbolique du Mah-Jong» et l’équilibre si harmonieux de sa disposition ?